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samedi 30 janvier 2021

Faire le vide

 "Fais le vide non ne dors pas, fais le vide, fais le comme ça... majeur en l'air, une bouffée d'air, tu traces comme s'il n'y avait que toi !"

Oui, j'ai écouté les paroles de Bilal Hassani. D'abord parce que le titre - en streaming ou téléchargement - est au profit du Téléthon, j'avoue ! Ensuite parce que j'aime bien le petit gars... (et puis il a liké mon tweet en moins d'une seconde, son CM assure...)


Et puis faire le vide, n'est-ce pas une bonne idée là, tout de suite maintenant (tout comme pointer le majeur en l'air et tracer comme s'il n'y avait que soi d'ailleurs) ?

Alors chiche, faisons le vide et traçons !

- Faisons le vide dans nos placards, allez avouez-le c'est le truc typique dont on parlait avant le 1er confinement genre "Ah là là, si seulement j'avais plus de temps à passer chez moi, il faudrait que...", qu'on n'a pas fait pendant le 1er ni le vrai faux 2ème confinement, là je crois que c'est bon !

- Faisons le vide de nos idées noires : Ok c'est dur mais bon, ce n'est ni le journal d'Anne Frank, ni la guerre en Syrie, ni le régime taliban en Afghanistan, ni le tsunami. Dans l'ensemble on est au chaud, on mange à notre faim, on continue à avoir accès à certaines expressions artistiques et culturelles, et tant que la 4G et nos box fonctionnent, même un semblant de vie sociale. OK c'est pas pareil, OK. OK le problème des vaccins ce n'est ni la logistique, ni l'organisation mais la capacité des industriels à honorer leurs commandes OK. Et donc ? Ben oui il va falloir prendre notre mal en patience...

- Tiens, pendant qu'on y est faisons le vide des vraies fausses envie de campagne (la campagne ça pue),

- Faisons le vide de nos vieilles rancœurs et reprenons contact avec Untel, avec qui d'ailleurs on ne sait plus très bien pourquoi on ne parlait plus,

- Faisons le vide dans l'essentiel et l'accessoire, dans nos points soi-disant non négociables sur les propositions politiques, sans consensus donc concessions et sans union, je dis ça je dis rien, mais on est plutôt mal partis (dit celle qui ne s'est jamais encartée).

Et traçons...

Lisons la tribune pour une République écologique, saluons ceux qui proposent...

Reprenons nos projets, personnels, professionnels et entraînons avec nous ceux qui les partagent...

Projetons-nous et si besoin après 2021 sur les projets qui nous emballent...

Et toujours majeur levé aux fâcheux, aux complotistes et trolls de tout poil !


dimanche 24 janvier 2021

Tenir


Tenir le rythme (ce n'est pas le tout d'avoir ouvert un blog) 
Tenir tête aux fâcheux
Tenir bon 
Tenir tout court


Temps de loisir quotidien limité à la "promenade courses" de la pause de midi, projets de vacances en février suspendus à la menace d'un prochain reconfinement, projets amicaux et familiaux en trop long standby... Autour de nous les signes de craquage imminent se multiplient, vous pouvez les lire ici, , et puis là-encore... Marre du télétravail, marre du couvre feu, marre d'être pris pour des cons... 

On en oublierait presque à ce jeu des comparaisons que :
1 - sans confinement, sans fermeture des écoles, mais avec des tests remboursés à 100%, on s'en sort plutôt mieux que nos voisins dans cette interminable 2 ème vague,
2 - qu'aucun gouvernement n'est responsable du retard de Sanofi sur son vaccin, des difficultés et retards de production de Pfizer,

J'avais pensé à faire un billet que j'aurais titré Désindignez-vous ! Mais à la réflexion il n'aurait pas été très différent d'un précédent Je vous demande vous arrêter : remplacez masques, tests, #PassionChloroquine, par vaccination, couvre-feu, reconfinement... et ça fait la blague... [N.B. on aura au passage noté le peu d'écho apporté au retour, par les équipes de l'IHU elles-mêmes sur les premières études Raoultiennes, celles-là même qui ont déclenché une passion mondiale, et de ce fait aspiré des montants et des moyens de recherche pour les conforter/invalider qui eussent tout de même pu être mieux employés.]

Pendant ce temps, pendant qu'on s'énerve sur des non-sujets 
Le déficit est X2 au nom du quoi qu'il en coûte, ce qui ne fait pas vraiment de notre pays un eldorado néo-libéral me semble-t-il,
Le PS consacrerait ce qui lui reste d'énergies à penser à changer de nom,
Se prépare une loi qui au nom de principes auxquels chacun peut adhérer (ou pas mais ceci est une autre histoire), octroierait à Bercy un pouvoir discrétionnaire sur la qualification d'intérêt général des associations et fondations,
Parcoursup vient d'ouvrir et donne aux parents de la génération 2003 privée de bac l'opportunité de se projeter, avec et pour eux dans l'avenir - ce qui je le reconnais représente une bouffée d'air dans notre monde cloisonné et privé de projets...
A ce sujet les "grandes écoles" se révèlent, pour ceux qui en douteraient encore, un redoutable reproducteur social à rebours de la promesse initiale d'égalité républicaine des concours.
Et comme d'hab à l'approche des présidentielles, les non encore candidats se testent et mesurent leurs chances à coup de fuites et d'initiatives réseaux-sociales savamment calculées...

Et surtout on évite les questions qui fâchent :
Comment concilier universalisme et égalité républicaine et montée des identitarismes plus ou moins victimaires, mais aux constats fondés et partageables ? Comment construire une position de gauche sur ces sujets et sortir de l'opposition caricaturale entre une position de principe certes louable mais teintée d'un angélisme méritocratique qui confinerait à la naïveté - et la défense de communautés plus ou moins constituées qui construisent un discours de division à partir de constats et de faits qui eux sont incontestables... Quelle position face à la cancel culture ? Quelle réponse aux inégalités de fait qui mettent à mal l'égalité de droit ? Comment concilier liberté d'entreprendre, de s'associer, et primauté de l'intérêt général et du bien commun ? Quel rôle pour l'Etat ? Quelle écologie ? Quelle santé ? Quel équilibre exécutif / legislatif  - Police/Justice (pas pour l'Etat d'Urgence mais pour demain) ? 

Je ne crois pas avoir lu quoi que ce soit d'intéressant sur ces sujets depuis des lustres...

Alors en attendant, on tient, ne serait-ce que parce que toutes ces questions-là nous attendent.
Tenez bon les gars et les filles, un jour peut-être on pourra arrêter de râler pour rien et discuter des vrais sujets...




jeudi 14 janvier 2021

2020... un top 12, vraiment ?

 TOP 2020

Et bien voilà, sur un mouvement lancé par Elodie inspirée par Laurent et repris par Nicolas et Sylvie, sans aucune originalité donc, à mon tour de me livrer à mon "BestOf 2020"

1. Le temps de l'innocence, quand on ne savait pas encore, ou pas vraiment... En janvier un 1er de l'an

Palerme, une rue

en Sicile, les pentes enneigées de l'Etna, les déambulations dans Palerme, Syracuse ou Notto, Segeste sous un orage de grêle, une improbable escale à Gibellina, en février dernier séjour aux sports d'hiver (mais déjà certains s'y mouchaient du coude)...


2. Le télétravail et ses quelques bons aspects : l'économie des 2h30 de trajet quotidiennes, ce nouveau rapport aux collègues, ces projets incroyables, cette efficacité, une gestion assouplie (bon OK un peu trop parfois) des agendas qui a permis de multiplier les réunions et d'accélérer le travail en inter-équipes.


3. (OK ça pourrait être un 2 bis) l'abribus virtuel : un rendez-vous teams quotidien et open où on vient parler entre collègues de tout sauf justement de travail, où on a partagé quelques fous rires, quelques "scènes de ma vie de confiné", et les ras-le-bol aussi.

4. Cuisine et pâtisserie : franchement, je me suis fait plaisir : arancinis (nostalgie sicilienne et recette by Ellia), croquants de Cordes, entreprises pâtissières saupoudrées de premières fois : Paris Brest maison, Fraisier, Framboisier apothéose du cheese-cake sans oublier côté salé l'ajout de quelques recettes à notre gamme, du risotto poulet petits pois carottes aux nouilles sautées boeuf et oignons (en revanche il faut vraiment que je trouve un endroit pratique et accessible pour le wok), vrai gratin dauphinois quand tu es chez toi et que tu as le temps...


5. Les teamspéro, skypéro, les boucles whatsapp et certains échanges sur les réseaux sociaux avec ce paradoxe : c'est souvent avec ceux qui sont le plus loin géographiquement (et avec lesquels on se demande bien pourquoi il a fallu attendre ce confinement pour avoir cette idée) que ça a le mieux marché : spéciale dédicace à David le texan, Nicolas le slovaque, François le belge ou encore Yann le polonais.


6. Couture... comme je l'ai écrit sur Facebook on m'aurait dit en 2019 que je benchmarquerais des tutos coutures masques norme AFNOR pour finir par bricoler le mien (je déteste les tutos vidéo, voilà ça c'est dit) - en fait c'est un peu comme la cuisine : je prends 2/3 recettes, j'ajoute ma touche personnelle et je fais à ma sauce au final.


7. Jardinage et fleurs coupées : la simultanéité du déconfinement et de la saison des pivoines : occasion d'une orgie pivoinesque, reconstitution d'un petit "jardin de cuisine" : mélange d'herbes aromatiques et de plantes à fleur...

8. Le déconfinement, tout le déconfinement : il faisait beau, c'était le printemps, revoir ma famille, se voir à défaut de se toucher ou de s'embrasser, retrouver les collègues masqués et distancés, trouver presque du plaisir aux 2h30 quotidiennes de transport - cette parenthèse entre le boulot et la sollicitation familiale - et ce qu'elle comporte de bavasseries entre collègues, écoute de podcasts et playlist voire visionnage totalement déculpabilisé de séries (alors que dans mon chez moi / poste de télétravail, j'avoue, j'avais du mal à me l'autoriser).


9. L'été presque en liberté : en juillet la Toscane, Florence, Sienne, San Giminiano, Pise rien que pour nous ou presque, une Grèce nostalgique en août dans une ambiance étrange, familiale et débarrassée de la part la plus tapageuse des touristes et fêtards. Ajoutez qu'on y a échappé à la canicule qui sévissait alors en France. En bonus cette photo digne d'un autre méditerranéen de ce couple mère/fille sur une plage désertée à l'approche de l'orage...

10. L'apprivoisement des mesures barrière, un séminaire en présentiel mais à 2 mètres les uns des autres, le retour au travail de l'avant reconfinement. Un rassemblement fin septembre de 250 personnes (bénévoles de l'AFM je vous laisse spéculer sur la moyenne d'âge), avec une organisation et une logistique d'enfer - la même ou presque pour le Téléthon en décembre dans les studios de la Plaine Saint Denis... pas de cluster ! Si j'insiste sur ce point c'est parce que j'ai mesuré combien ceux qui ne les ont pas vécues (parce que pas concernés, parce que dans de grosses boîtes avec télétravail strict...) fantasment sur la contrainte voire l'inapplicabilité des mesures barrières : finalement vivre avec un masque H24 ou presque, le flacon de gel à portée de main, les déjeuners en quinconce et les pauses clope à bonne distance : en vrai c'est supportable, ça permet de faire plein de choses et de voir de vrais gens !

11. Sans plagier Elodie (mais bon je ne l'ai pas recrutée pour rien non plus) un P... de Téléthon de dingues, à la rage, à l'énergie et à l'envie... et ces enfants soignés, ces maladies qu'on nous disait incurables, ces pistes thérapeutiques qu'on nous disait irréalistes... Incroyable fierté d'avoir rejoint cette bande de fous furieux et d'avancer encore !




12. Et, dans le désordre, un improbable arbre à masque, le deuxième confinement et ses parcs et jardins ouverts, reconquérir Paris comme un grand terrain de promenades (surtout à plus de 1 km), retrouver en décembre la neige et l'air pur dans une invraisemblable et so authentique ferme du Doubs, la famille H et son grain de folie, des images qu'on n'aurait jamais pensé (re)partager et la force des liens (je ne parle pas des liens hypertexte) qu'on a noués et renoués...

Et pour 2021, comme je le disais tout à l'heure à certains collègues on va plutôt se souhaiter une bonne journée, un jour après l'autre et ça devrait aller ! 




vendredi 8 janvier 2021

C'est l'Orestie, mais à l'envers...

L'Orestie, mise en scène de Roméo Capellucci
(pas de crédit pour la photo)
Drôle de titre pour un billet. En plus il risque d'être long et il vous faudra, je le crains, le lire jusqu'au bout pour comprendre où je veux en venir.

On se lance dans le bloguage et voilà qu'on se retrouve plongé dans une actualité aussi brûlante que délirante, et on s'interroge. Qu'ajouter aux échanges sans rabâcher, plussoyer ou troller ?

Ok je suis joueuse, j'essaie !
 

En début de semaine on apprend donc qu'un constitutionnaliste célèbre et respecté, époux d'une historienne également célèbre et respectée est mis en cause par sa belle-fille pour des actes pédo-criminels commis sur son beau-fils (frère jumeau de la belle-fille, suivez un peu !). Elodie et Nicolas ont beaucoup écrit sur le sujet qui a été commenté chez eux ou sur Facebook, mais une question a soigneusement et diplomatiquement été évitée (enfin, si j'ai bien suivi, sauf dans les échanges, musclés, entre Elodie et Michèle Delaunay) : "si crime il y a et qu'il est juridiquement prescrit, quel est le sens de cet outing ?".
S'ensuit une invasion hallucinante du Capitole US : à l'image un improbable folklore en mode Jamiroquai/Village People rhabillés de drapeaux confédérés et T-Shirts néo-nazis. 

On ergote alors sur la qualification de ces tristes clowns et de leur tristissime et clownissime leader : fascisme ou populisme comme dans la matinale d'Inter ce jour, où j'ai quand même entendu cette perle "oui mais la grosse différence c'est que ce mouvement s'enracine dans une colère sociale".
Ben oui c'est bien connu l'incendie du Reichstag c'était au cœur d'une période de prospérité et de paix sociale, surtout en Allemagne. Pour le fascisme j'y reviens un peu plus loin. Passons...

Et là, la commémoration débarque avec le triste anniversaire de l'attentat contre Charlie, le crime de fous de dieu décérébrés, et on se remet à ergoter sur Etre ou ne pas être Charlie...

Le point commun entre tous : l'expression d'une tension grandissante - celle qui caractérisera notre siècle ? - entre la morale (sur fond religieux ou pas) et le droit, entre l'opinion et la raison. 

Car j'ai l'impression, la très nette impression que ce qui se joue ici est un véritable renversement de la modernité, d'une contestation profonde de la primauté du droit sur la revanche voire la vengeance, de celle de la raison et des faits sur l'opinion, j'y ajoute la revendication même pas sous-jacente d'une primauté de la représentation des intérêts particuliers ou des communautés (coucou les intersectionnistes les "faisceaux" du fascisme ça vous évoque quelque chose ?) sur la représentation égalitaire et démocratique des citoyens via leurs élus.

Quand la liberté d'expression si chère à nos frères nord-américains, après avoir autorisé les opinions les plus abjectes ou hallucinantes (du KKK au créationnisme et au platisme (on rigole on rigole mais bon) en passant par toutes les opinions religieuses y compris celles que nous considérons - à raison selon moi mais nous y reviendrons - comme sectaires), en arrive à légitimer les faits alternatifs, on se réjouit un peu vite de voir Facebook et Twitter jouer les gendarmes. On en oublie tout aussi vite la béance démocratique/de gouvernance qui se crée quand un acteur privé a tout pouvoir de censure, de son fait et de ses propres règles et non du fait d'une loi votée et contrôlée dans son application, cf leur promptitude justement dénoncée à censurer les tétons tout en laissant passer les armes et la violence.

On rate aussi l'opportunité de se féliciter d'avoir chez nous ces lois, pourtant jugées liberticides ailleurs, anti-sectes, anti-haine et incitation à la haine, laïcité "à la française" #toussa. Le modèle français hérité des Lumières pourrait être l'opportunité d'un nouveau leadership, ou restera le hoquet d'une ultime et dérisoire résistance à ce qui se joue...

William-Adolphe Bouguereau,
"Les Remords d'Oreste" (1862) - détail
Sommes nous vraiment en train de vivre (mes références sont encore plus lointaines que l'univers très Grand Siècle de Didier Goux que je découvre, et imprégnées de culture gréco-latine n'en déplaise à Charles Perrault à qui vous admettrez que cela doit faire une belle jambe d'où il est) une Orestie à rebours (oui j'assume aussi les liens wikipedia parce que s'il faut que je vous raconte tout ici ce sera définitivement beaucoup trop long) ?

Les dieux qui se retirent au profit de leurs symboles (statues) et de l'administration collégiale de la cité, les Euménides, la raison et le droit sont ils en train de laisser place à aux Erinyes : passions, vengeance et destins individuels tragiques livrés aux seuls caprices des dieux ?

Oui j'ai osé


L'avenir nous le dira, mais bonne année quand même !

samedi 2 janvier 2021

Premier billet (ou pas, c'est selon)

C'est l'histoire d'une fille/femme/vieille (rayer les mentions inutiles) qui cumule un certain nombre de (tares, qualités, OSEF) qui la conduisent, ici et maintenant le 2 janvier 2021, à ouvrir un blog (alors pour la petite histoire, à le réouvrir puisque blogger m'a automatiquement redirigée vers un brouillon qui datait de... 2013 !).

Première tare et non des moindres, le cœur à gauche et les 2 pieds dans la société civile depuis un grand virage professionnel opéré en 2004, néanmoins diplômée d'école de commerce, je me suis donc retrouvée (castée, parachutée, propulsée) dans l'équipe numérique #FH2012 (je vous laisse faire le calcul), occasion de rencontrer des blogueurs de gauche qui aujourd'hui se partagent entre vraie gôche autoproclamée, pseudo traîtres ex-frondeurs ou pas, démissionnaires du blogage, militants d'autre chose, universalistes et intersectionnistes, moi-même je m'y perds c'est vous dire... A l'occasion de riposte parties et autres grands moment de convivialité (avec une mention spéciale pour les barnums en plein vent sans wifi d'un certain meeting de Vincennes) j'ai même pu les côtoyer "en vrai" (enfin sauf Juan évidemment). Quelques années plus tard j'en ai même recrutée une pour développer ensemble et structurer la présence militante en ligne de l'AFM-Téléthon... Voilà, c'est déjà vous dire mes mauvaises fréquentations !



Deuxième défaut rhédibitoire, ou pas, il me prend souvent la fantaisie d'écrire... Sur un sujet ou un autre, sur les réseaux sociaux de plus en plus associaux. Jusqu'ici en vraie feignasse que j'étais, j'utilisais la fonctionnalité Notes de Facebook, mais d'une part Mark l'a supprimée depuis le 1er novembre, d'autre part cela m'attirait les foudres de Nicolas Jégou le dernier des mohicans blogueurs.

Enfin, je suis à la fois engagée et joueuse, bref, je m'étais engagée, à 1500 € collectés sur ma page de collecte pour le Téléthon, à ouvrir ce blog... A plus de 3500 € je n'ai plus guère le choix.

Dans ce blog je parlerai donc de société, de politique un peu quand même, d'engagement, mais aussi jardinage et cuisine, (pour la couture j'en resterai je pense à la confection de masques maison héritée de 2020 et de ses confinements).

Evidemment je m'empresserais de recycler ici mes publications antérieures...

Bienvenue